The Power of Gospel

C’était le Samedi 17 décembre 2022 dans la Cathédrale N-D des Pommiers

C’est lors de la dernière soirée de la 67ème édition du festival que l’ensemble The Power Of Gospel s’est produit dans la cathédrale de Sisteron. La ferveur de ses chants de Noël et du Gospel a enveloppé comme prévu le public venu en nombre. Les classiques interprétés par le groupe ont emmenés avec eux, les spectateurs, sous le charme. Nous saluons les voix exceptionnelles des chanteurs Sarah Koper, Fabrice Claire, Céline Languedoc, Andrew Picord, Lova et le talent du pianiste Déric.

Avec
Sarah Koper, direction Artistique, chant
Fabrice Claire, direction Musicale, chant
Lova, chant
Céline Languedoc, chant
Andrew Picord, chant
Déric, piano

MUSIQUE

Les temps forts du Festival – 67es Nuits de la Citadelle

Une soirée d’ouverture au Cloître Saint-Dominique avec « Carmina Latina » sous le signe de la nativité, emportant le public dans une soirée de fête et de chants espagnols et sud-américains du XVIe et XVIIe siècles, orchestrés par le chef Leornado García Alarcón.

Carmina Latina
Cappella Mediterranea

Des allures d’Italie se sont profilées tout au long de la deuxième soirée au cloître avec la voix phénoménale du grand ténor Freddie de Tommaso, accompagné au piano par le talentueux Jonathan Papp.

Freddie de Tommaso (à droite) et Jonathan Papp (à gauche)

Le jeu, Jatekok en hongrois, c’est ce que le duo de pianistes Naïri Badal et Adélaïde Panaget a montré au public avec la complicité malicieuse de Corinne et Gilles Benizio, lors de la cinquième soirée de cette édition, dans l’écrin du Cloître Saint-Dominique, lors d’un carnaval des animaux pas comme les autres. Avec une énergie contagieuse et virtuosité, les deux amies, ont interprété des œuvres marquantes du répertoire classique telles que La Danse macabre, œuvre marquante de Saint-Saëns, figure majeure de la musique du XIXe siècle, mais aussi Prélude à l’après-midi d’un Faune de Debussy et un extrait de Carmen de Bizet.

Un carnaval des animaux pas comme les autres
Duo Jatekok, Corinne et Gilles Benizio

C’est avec jeunesse et talent que s’est clôturé, au théâtre, le festival des Nuits de la Citadelle. Camille et Julie Berthollet accompagnées au piano par Vincent Forestier et au clavier par Maxime Ferri, ont à l’unisson, emporté le public dans leur univers musical. Grâce à une complicité folle, elles ont soufflé, avec émotion, un vent de modernité pour cette dernière soirée.

Camille et Julie Berthollet

DANSE

Les temps forts du Festival – 67es Nuits de la Citadelle

C’est au théâtre de la Citadelle, que s’est poursuivi le programme du festival avec les Italiens de l’Opéra de Paris, sous la direction artistique d’Alessio Carbone. Une soirée envoûtante de par les tableaux dansés s’enchaînant et mêlant avec brio le classique et le contemporain ainsi que la spectaculaire création de Simon Valastro.

Soirée d’une beauté spectaculaire dans le cadre grandiose du théâtre de la Citadelle, avec « El Salto », chorégraphies impétueuses de la compagnie Jesús Carmona. Flamenco, mouvements aériens, forts et puissants, ont séduit le public dans un décor où les danseurs, ont habité la scène et questionné le genre jusqu’à sa mise à nu.

THEATRE

Les temps forts du Festival – 67es Nuits de la Citadelle

« Te souviens-tu Marie, de ta première rencontre avec George Sand ? » Béatrice Agenin s’empare de la scène du cloître Saint-Dominique dans les rôles de Marie Caillaud, paysanne berrichonne à fort accent, et de George Sand, plongeant le public dans l’histoire bouleversante des deux femmes. Avec Arnaud Denis, fils de George Sand, le duo de comédiens a su captiver l’attention des spectateurs pour leur offrir une soirée théâtrale époustouflante.