MUSIQUE

Les temps forts du Festival – 67es Nuits de la Citadelle

Une soirée d’ouverture au Cloître Saint-Dominique avec « Carmina Latina » sous le signe de la nativité, emportant le public dans une soirée de fête et de chants espagnols et sud-américains du XVIe et XVIIe siècles, orchestrés par le chef Leornado García Alarcón.

Carmina Latina
Cappella Mediterranea

Des allures d’Italie se sont profilées tout au long de la deuxième soirée au cloître avec la voix phénoménale du grand ténor Freddie de Tommaso, accompagné au piano par le talentueux Jonathan Papp.

Freddie de Tommaso (à droite) et Jonathan Papp (à gauche)

Le jeu, Jatekok en hongrois, c’est ce que le duo de pianistes Naïri Badal et Adélaïde Panaget a montré au public avec la complicité malicieuse de Corinne et Gilles Benizio, lors de la cinquième soirée de cette édition, dans l’écrin du Cloître Saint-Dominique, lors d’un carnaval des animaux pas comme les autres. Avec une énergie contagieuse et virtuosité, les deux amies, ont interprété des œuvres marquantes du répertoire classique telles que La Danse macabre, œuvre marquante de Saint-Saëns, figure majeure de la musique du XIXe siècle, mais aussi Prélude à l’après-midi d’un Faune de Debussy et un extrait de Carmen de Bizet.

Un carnaval des animaux pas comme les autres
Duo Jatekok, Corinne et Gilles Benizio

C’est avec jeunesse et talent que s’est clôturé, au théâtre, le festival des Nuits de la Citadelle. Camille et Julie Berthollet accompagnées au piano par Vincent Forestier et au clavier par Maxime Ferri, ont à l’unisson, emporté le public dans leur univers musical. Grâce à une complicité folle, elles ont soufflé, avec émotion, un vent de modernité pour cette dernière soirée.

Camille et Julie Berthollet